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Extended, reaching, fingers unfurled.
A thin thread of humanity weaved through silences that strain to split from the touch.
So close the heat to my skin, but still only an impression. Or an illusion.
Bearing a pain that has no foundation in change, in movement.
Carrying scents of dreams never dreamt, but imagined, eyes opened.
Resting on smiles hidden for too long, dead after being released.
Escalading bodies and hours and promises, holding the truth hostage.
Wearing gloves like a bad suit, to be protected from what was put there in the first place to be touched naked.
Playing with visions soft enough to be molded into what it was supposed to be.
Caressing the past against the grain.
Such are my hands, such are yours. Never meant to touch, never meant to part.
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J’écris de ces rêves
Qui n’en sont pas,
Entre conscient et inconscient,
Quand les doigts sont à la limite
Et que se battent ces deux là,
Conscient et inconscient…
L’un qui voudrait qu’ils n’hésitent plus
Et s’autorisent les caresses plus folles,
L’autre qui en appelle à la morale
Avec un brin de frustration…
Dans ces instants de fantasmes éveillés
Il est rare que le deuxième fasse le poids
Et il ne reste plus qu’à écrire
Pour se débarasser d’une éventuelle culpabilité…
… Oui, je sais bien,
Cela n’a pas forcèment à voir de très prêt avec le sujet, mais la traduction approximative de celui ci, l’impact de quelques mots ajoutés à un brin de nostalgie nocturne m’ont fait penser ces mots. Autant les laisser là où il sont nés…
Harry Steed
tout à voir. c’est exactement ces pensées qui me hantent. y a-t-il trop de rêve éveillé? et les mots peuvent-il vraiment nous sauver?
merci de votre générosité.
Excellent, love it!
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