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Est-ce que t’as pleuré?
Il pleuvait autour de mes souvenirs.
Coulée chaude qui m’entraînait sous la réalité.
Jamais au dessus.
Des rivières de moments qui se déversaient dans mes rêves.
Il n’y fait plus chaud maintenant.
J’ai ouvert les fenêtres, les portes.
Je laisse le vent assécher les traces de nos passages.
Les cernes marquant le niveau des marées seuls témoins de l’humidité de nos voyages.
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Dans ce miroir, ton miroir, ce que tu voyais, c’était une autre femme. Ou une femme.
Voilà un texte qui a quelque chose d’envoûtant. Bien agréable à lire avant de m’absenter quelques jours.
Harry Steed
7: une femme, devenue une autre.
harry: merci 🙂 l’absence sera remarquee.
T’as un don incroyable toi, de jongler comme nulle autre avec les mots.
Pfff, époustoufflant… à chaque fois!
bibi: ben… merci 🙂