J’aimerais mieux, parfois, en comprendre moins. Je suis toujours rendue au huitième move, et tout le monde est au ralenti. Je ne me bat plus depuis longtemps avec l’élastique du masque. C’est lourd, de toujours voir les fils, les coutures, le maquillage. Laid et triste et je sens
(et comment on fait pour écrire dans le même élan…
I need to wash myself again to hide all the dirt and pain
I’d be scared that there’s nothing underneath
et
I want to live and breathe
I want to be part of the human race)
que tout est vide.
Plus aucun synonyme n’est nécessaire.
(bah! pour les synonymes y a toujours les dictionaires.)
Ici c’est la vie!
🙂