J’avais écrit sur une page lignée: “Je ne danserai la salsa que dans tes bras, le tango que sur ton corps. Mais je me prépare à partir sans toi.”
Les jours deviennent aussi longs que la noirceur nouvelle de l’automne. J’aurais aimé connaître ta peau sous le soleil, salée, mouillée, rugueuse de sable. La force de tes mains me tenant les hanches dans la mer.
On connaîtra donc les balles de neige, les sentiers vierges percés du nuage de notre haleine et les matins aux cendres encore chaudes. Il fera sûrement aussi chaud.