À deux pas d’histoires à se souvenir. Je te jure. À ça de te donner tout.
T’as qu’à rester tout près, ne jamais aller plus loin que le bout de mes yeux.
Et on se raconterait les bals, les étoiles et comment l’eau était fraîche sur nos corps à la fin de l’été.
Des années sans célébrer mais comme une fête continuelle, chaque matin devant les possibilités d’être heureux.
Une mémoire ample et vaste qui ne demande qu’à être remplie. Il y a tant de choses…
Comme quand on lève les yeux au ciel une nuit de neige et que les flocons semble ne jamais vouloir s’épuiser.
Y mettre des promesses et des mots secrets, des pleurs compliqués et des rires antidotes.
Respirer. Te respirer.
Et ce soir, et demain, et encore.
Mais surtout, surtout, maintenant.