De la guimauve au plus noir des funks sur un dix cennes. Des constats des constats toute la journée. Et bien qu’on se batte contre les évidences, certaines sont plus coriaces que d’autres. Sont plus dures à prendre aussi. Pendant que je travaille, pendant que je conduis, pendant que la vaisselle se fait pas et que j’attend, j’attend les mots qui vont tout remettre en place dans mon atrium. Rétablir la circulation.
Des constats parallèles, divergents, pour devenir confluents.
Entre la prose, le blues et les lamentations d’une fille insécure. Entre la liberté, le désir et le besoin d’être aimée. Comme avant, comme au début, n’existera plus. J’ai mis un pied devant l’autre, sans arrêt.
Celle qui peut-être viendra après moi ne t’offrira jamais ce que je te donne right now. C’est pas dans 10 ans qu’on veut être heureux. C’est pas hier qu’on l’a été. Il y a quelque chose à faire avec aujourd’hui, tout le temps.
Sans excuses jamais. Simplement que “c’est comme ça”, je n’y crois pas. Les constats, je les encule.
…
…
Quelques heures plus tard j’attend toujours. Et je constate.
Rock hard. Pis drette bull’s eye. Ah merci d’y être, y a des soirs, la blogosphoutre est molle ! On croirait qu’y fait 49 degrés à l’ombre.
Merci à toi.
ouais, très molle. ça me rappelle Babar sur la planète molle. ça prenait des souliers spéciaux pour pouvoir y marcher sans y coller et s’enliser. mais c’était super beau et futuriste et les enfants voulaient plus partir. mais Babar et Céleste, malgré qu’ils aimaient aussi beaucoup l’endroit, réalisèrent qu’ils devaient partir, que ce ne serait jamais vraiment chez eux.
Woah.
J’suis une lamentable fille insécure.
OusKy est le party ?
Que dois-je faire ?
Où est le chemin d’Oz ?
Pourquoi vais-je ?
(c’est beauuuuuu…I love it)
xx
Well (le site étant bi-langue)
J’aimerais vous faire sourire.
C’est le genre d’écrit qui touche et me touche.
“Il y a quelque chose à faire avec aujourd’hui,”
Oui, c’est urgent…
Je reviendrai…
Harry Steed
Love-Soeur: nous alons-je ensemble toujours voyons… tu sais où me trouver 😉
Harry: aujourd”hui ou demain, je suis toujours ici… et vous, toujours là? merci mon ami de vos mots toujours si généreux.
AH HA! Tu te mets un strap-on et tu les encules!
(Je suis dans Rabelais). (Je m’excuse).