Classic Rot

S’pas façile, pas pleurer en écoutant Racing in the streets

Qui sort des speakers de mon système de son Denon acheté hier

En mangeant un demi litre de Cherry Garcia

Après avoir jasé avec ma tante qui aura 92 ans en mai

Qui me parle toujours de ma mère

Après avoir forcé pendant deux jours à monter un buffet pour ma salle à manger

Je sens la lotion pour le corps au citron et à la lavande

Qui venait dans un emballage magique

J’ai une grosse bouchée pognée dans la gorge

Retail therapy does not always work

The ground covered

C’était le dernier froid. La dernière journée trop emmitouflée. Je laisse les couches tomber, éparses, je les laisse me quitter sans un mot, sans un bruit. Je peux imaginer que l’air soulevé lancerait un cri s’il le pouvait. Que de tremblements dans l’atterissage forcé d’une cape en mal d’héro. Ou d’héroine.

Il y aura, puisque le passé ne conjugue plus mes matins, il y aura.

Non je ne me tais pas.

I just need to have some fun, remember? That’s what you said.

There was a little fuck you in my step, there was a little fuck you in my grin.

And it all made sad sense.

How weight can be worn in so many different ways.

Layers upon layers, the ground covered and still I walk, because that’s all I am built to do.

Fuck baby steps. I’m walking in strides.

I’m walking, I’m walking, I’m back.