Il y a toujours à faire. À FAIRE. Et je fais, sans relâche, je fais. Le gaz est cheap, j’en fais encore plus au mile. Ce qui doit est fait, c’est ce qui devrait va l’être. La conjugaison est assez simple.
J’ai une petite fenêtre d’opportunité à chaque soir, que je m’applique à scrapper en faisant ce qui n’a pas lieu d’être fait.
… Faire comme si, parce que là, vraiment, c’est être tête de cochon que d’insister à ignorer les fêtes. J’y réussi à moitié. L’horaire est agréablement vide. Évidemment que ça aide que de n’avoir qu’un papa comme famille. J’aime à penser que le 25 ne sera qu’une autre occasion de se faire des câlins et de s’embrasser et de se dire qu’on s’aime.
Et des fois, je fais avec le plus grand des plaisirs, je fais parce que j’aime. Et je ferai encore, encore pendant un petit bout, tant qu’on me laissera faire.
Parfois en écoutant cette pièce je m’imagine courant de toutes mes forces, tentant de fuir l’ennemi. Ces jours-çi c’est le temps.
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On pourraient les ignorer les fêtes ne serrait que pour tout les nazi-des-fêtes qui font tout pour nous ramener dans leurs camps de concentration de joie artificiel temporaire ou tout les malaises familiales sont souvent ramener a la surface par un tata dans la famille qui ne sais pas laisser dormir les choses.
Je déteste Noel et je suis obliger de passer a travers comme les funérailles d’un proche. C’est poche, mais ont doit le faire.
Joyeux Noel.
Bisous.
amen Dave. c’est le “doit” qui me cause le plus de trouble. devoir pour qui?? moi je te souhaite une Joyeuse soirée 😉
bises, É. 🙂