Interstices

Ce qui semblait éteint, perdu, disséminé au-delà de toute possibilité de récupération… est de retour

Lentement, mais parfois par à-coups fulgurants, j'émerge

(Sister Morphine joue, et je peux juste pas me tanner parce que c'est tellement)

Je lis plus que jamais. Je me saoule de musique

(turn my nightmare into dream)

Je pensais même pas recommencer à respirer, let alone sourire

(et puis y a ce gars du Texas génial Shakey Graves allez écouter ça c'est un ordre parce qu'il dit "watch out cause here I come")

L'urgence du voyage s'est curieusement estompée, mais pas le besoin

Je sais bien que je fuyais

(some of us were build to roam)

Je sais bien qu'à mon retour il y aura encore plus de musique et encore plus à lire encore plus à écrire à vivre

(shine on Georgia moon)

Après j'ai envie de voir le désert

Traverser des océans

Rêver que je ne rêve plus mais que ça arrive vraiment

 

One thought on “Interstices”

  1. Manon says:

    et quand ça arrive on se surprend à croire que ce n'est qu'un rêve!
     
     Bon voyage l'amie! xx
     
     

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