Bon, oui, je réalise que c’est pas mal déprimant ces derniers temps. Mais ça va hein. On vire pas fou avec ça. C’est ce qui sort et qui se rend ici, c’est tout.
J’aurais dû vous parler de choses super trippantes qui me sont arrivées ces dernières semaines, comme enfin rencontrer Éric, lire La Solde (je ne suis absolument pas bonne pour les critiques ou les résumés. C’est bon, c’est drôle, c’est tragique, c’est lumineux, c’est noir, voilà), des partys entre amis vraiment agréables (les amis ET les partys).
Il y a eu des soirées ici aussi, devant l’ordi, à échanger des tounes sur tksync.com avec les copains qui tweetent. C’est dément comme expérience, faut l’essayer!
Il y a de la musique. Et encore de la musique. Des nuages parfois, bien sûr, mais pas tout le temps.
Mon prochain rêve est dans un dossier, en photos seulement pour l’instant. Septembre. Je sais pas si ça se réalisera, mais plus je me pratique à rêver, mieux j’y arrive. C’est comme la guitare, faut pas lâcher, même quand les doigts font mal, même quand ça fait ploïng krouïng crïng.
…même quand ça fait ploïng krouïng crïng…
Ben alors lâche pas ton rêve et ça fera plouc splach et splish bientôt et je te permets de prendre un verre sans penser à moi…sinon 10…Ô comme j’aime te lire toi. Bisou et bon voyage(tu vois je le vois venir, je le visualise moi aussi)…mais avant tout passe de superbes fêtes Pascale. À tout bientôt ! Denise
Faut pas lâcher, non.
Bises arlésiennes.
Merci Denise pour tes bons mots, et que je ne t’entende pas protester quand je vais me caler un Ouzo à ta santé! 😉 de belles fêtes à toi et ceux que tu aimes xxx
Éric: bises montérégiennes. (-9 ce soir)
Tu as un prochain rêve.
N’oublie pas le spanakopita et la pieuvre grillée. J’ai lâché la guitare, pas par mal aux doigts mais par un lent et oisif délaissement. Mais il me reste encore ça. Le Banquet.
Nous aussi on t’aime. Et parlant de bises, je t’en lance une poignée de la ville de Québec. Avec ce tas de bises qu’on te garroche, quelque chose poussera encore malgré les aridités et les mauvaises herbes.
J’ai beaucoup marché sur les prés verts de ce lieu, qui est tien. Parfois pour m’y reposer et juste sentir les saisons de ton âme, ses mélancolies de la dévie, tristesse des passages obligés, comme devoir laisser mourir les siens dans la paix et puis celles, saisons, qui nous amènent un peu plus à la vie, à ce qu’elle nous offre des nôtres et ce que nous leurs retournons comme tu le fais, toi, avec affection et respect, sans feindre don, étant vraie, c’est bien,là, la nature de ce que tu es et que l’on retrouve dans le calme ici.
J’en dis que je m’ouzotte à ta santé en rêvant à la Grèce où j’aimerais bien aller me faire voir cet hiver!
Merci Vincent. J’avoue être… argh! overwhelmed. une vague puissante mais douce, et je la prend de face, parce que l’eau est bonne. Oh oui, ça poussera. Merci encore.
MakesmewonderHum!… que dire. je suis si touchée. c’est comme une main douce qui caresse mon visage. c’est comme le soleil si chaud du matin, même quand il fait froid. ce sont des mots que je retiendrai. que je range dans ma poche, mais pas trop loin. parce que je voudrai les relire. souvent. merci.
manouche, rêvons, rêvons! elle ne va nulle part la Grèce, elle nous attend 🙂