Je suis là. Mais j’observe.
Je suis là, je suis là, je suis là.
Mais.
J’observe.
Ce n’est pas possible
Autant se retirer
Autant tourner le dos
Le mal de ne plus voir
Fait plus peur que l’improbable
Le n’arrivera plus
Le passé sculpté dans ma peau
Le passé caché sous mon lit
Il est là. Mais il observe.
I’m drowning in this pool of the sublime.
what can I say… my turn to humbly say thank you, although I could let it go to my head :p thank you. really.
You’re welcome. That post just felt right
Not to be paranoid, but…
Beware that hiding in your bed also.
Miao fur now
Glenn
jeliel: that’s what it’s all about. and when it happens to me, I feel the same, compelled. but man I suck at comments!
glenn: ha! you know, it doesn’t read so bad once translated… but thank you for the warning!
C’est très … intrigant ce qui est écrit.
Harry Steed
harry: mais qu’est-ce que ça vous dit? c’est ce qui est important 🙂
Difficile à dire…
Comme je dis parfois à mes lecteurs,
il y a l’impression connue de celui (ou celle qui a écrit) et toutes les impressions possibles ensuite des lectures. C’est ce que j’aime qu’il arrive dans l’écriture. Que l’écrivain laisse la porte ouverte ou entr’ouverte à l’imaginaire et aux sensations de chacun de ses lecteurs… Et là il y a ça dans ce texte court, mais fort. J’en retire d’abord cette évidence qui n’a d’évidence parce que vous l’avez écrit:
“Le mal de ne plus voir
Fait plus peur que l’improbable…”
Et puis cette impression de fantômes,(bien que le mot “fantôme” ne soit pas le plus adapté) qui rôdent dans votre présent…
Harry Steed
Ah! comment c’est possible d’etre present mais etre silcencieux!?? C’est avec les mots qu’on monts qu’on…
harry: oui, tout à fait d’accord. c’est ce que je recherche également dans mes lectures. pas de portes ouvertes, ni de chemins éclairés. pour les fantômes, c’est effectivement un thème récurrent ici 🙂
merci des bons commentaires.
dr: je ne savais pas que vous lisiez le français! mais oui c’est possible, grâce aux mots de toute évidence. merci de votre visite 🙂