Even before my knee brushed his thigh I dreamed of nights without cloth between our skin.
That first drop of sweat that I still taste on my tongue, that fire that ignited, that hunger that only grows as it's fed.
I want. More. Out of breath more. Blind more. Screaming more. Sweet more. The treasures within your eyes spilt upon my need.
Funny how life places the stones we walk on, right above the water level, just high enough so that we do get wet once in a while.
Oui, stones, où tes pieds se font chemin, se font ballets des congés de soi, entre des rives gelées d’être vagabondes area, tes soupirs en pierres pour un autre voyage, un autre passage rive-rein, tes mains, précieuses pierres pour un autre regard besoin sur une rivières de pourpre vétue.
Et de stones en stones, comme un com qu’on sait c’est qui sur mon blog, autant de plouc, de splatch, d’échos de splouch à travers tout ces espaces vacances brain d’aujourd’hui p-ê trop lourd, de demain riche en oxygène.
Marcher sur l’eau. Et croire aux solide terre-à-terre sous le pied, qui arrivera en temps et llieu, comme promesse à un mieux possible, au delà de ouske ton regard peut porter.
C’est ça je crois avoir la foi.
Rien d’autre.
Pas de magie, ou d’absolu dogme.
Juste croire.
T’aime xxx
tu as fait monter le niveau de mon eau Love-Soeur. de t’avoir connue aura changé ma vie à jamais. tu m’as redonné espoir quand y en avait plus du tout. donné de la lumière quand j’étais perdue pour vrai. et de l’amour comme j’espère un jour être capable d’en donner.
T’aime tu dis? et moi donc.
xxx
nice nice nice post