Je tire sur les chants avant qu’ils s’écrient, qu’ils échouent sur les ailes du pigeon en plein vol, en plein élan vers l’endoit où se seraient trouvés les mots qui grattent à la porte d’une chambre condamnée à abriter les mélodies nées pour les accompagner. La dissonance dans la distance entre les deux saigne et coule et ma langue innondée flotte et cherche la surface à lécher qui n’absorbera pas qui laissera. Une mer lisse en lueurs et promesses rubis après la noyade des âges mal vécus.
Je n’ai plus que ce don qu’est d’aimer.
Et c’est le don le plussss magique. …:)
Gare a celui qui n’a jamais reçu ce don….
Si tu ne l’avais pas classé dans l’onglet poésie.. je t’aurais botté le c*l!