Le dernier devra durer et durer. J’ai tenté d’en garder l’odeur, mais ma nuit blanche aura tout effacé.
Jusqu’au matin, jusqu’au bruit du vent que j’ai voulu entendre au bout du fil. Le vent du sud, celui qui devait emporter les épines tombées des rêves, les parfums marins maudits, les chuchotements d’ailleurs.
Une nuit raz-de-marée, une nuit tsunami, l’île m’hébergeant ne m’ayant fait aucune promesse. Des chaleurs de la honte aux froids de la peur sur mon île, sur mon île j’y suis passée.
Et l’accalmie ne viendra que du vent qu j’ai voulu entendre. Je veux du vent sur ma peau, du vent dans mes cheveux, du vent dans mes cauchemards.
Le dernier, des braises que je croyais éteintes, est né à nouveau au bout du fil. Le dernier durera.
Mais il me manque déjà.
Wow…
merci beaucoup. de ta visite aussi, bienvenue chez moi 🙂
Oh, je viens virer souvent ici, je suis discret.
Un peu comme toi, 🙂
argh! démasquée! 😉
j’ai tellement pas de talent pour les commentaires :s
Beeeen non voyooons!
ouin, le #5 surtout.
je pourrais me pratiquer ici! commenter sur mes propres commentaires. ou bien un rating system. ou bien, euh, ben j’ai rien à faire pis j’m’ennuie là, je pourrais aller commenter sur des blogues que j’aime pas.
antagoniste point net. apportez votre pepto bismol et vos cocktails molotov.
Boh, y font pitiés les pauvres petits.
je suis trop paresseuse pour récupérer mon vieux mot de passe wp.com d’la marde. je vais faire un autre post tristounet alors.