Des fois ça prend ça. J’en ai reçu un de mon amifellowblogger Jeliel dans son commentaire à mon dernier post. Franchement, ça fait du bien. J’ai pas d’affaire à me sentir si misérable. Pas à cause de choses ou de gens sur lesquels je n’ai aucun contrôle. Pas à cause d’événements que j’ai moi-même provoqués. C’est vrai que c’est simple. C’est aussi vrai que c’est façile de s’appitoyer, de se laisser aspirer, de se noyer dans le noir. C’est même confortable. Beaucoup plus que de se botter le cul. Des fois des coups de pied au cul se perdent. Pas celui-çi.
J’apprend à tous les jours. Je m’enfarge souvent, mais ça fait de moins en moins mal, parce que je tombe de moins haut. Une main tendue, c’est bien. Un coup d’pied dans l’derrière c’est mieux. Pour moi en tout cas. Je ne veux pas tout considérer avec du recul. Je veux voir les choses venir de loin. Bon, là je les ai dans la face, mais c’est mieux que rien.
Des attentes, j’en ai beaucoup. Je dois me contenter de celles qui me concernent. Celles qui sont bénifiques. Les empoisonneuses, les négatives, les impossibles, elles ne sont que des prétextes. Pour m’éviter de me regarder de trop près. Et de le faire à jeûn. C’est pas toujours joli.