Y arrive un moment donné, ça sert à rien de réfléchir. Pus rien avance. Tsé genre… Des straps, des cordes, des claques, une poignée de mes cheveux dans ta main, ma tête qui frappe le mur sur ton rythme, évacuant mes pensées, regarde mon cul en l'air, juste pour te prendre. La gorge sèche pis seulement de la sueur pis tes doigts pour me désaltérer. De la peur en sourires complices avant de perdre la vue sous le foulard. Ça pince, ça brûle, je sais pas je sais juste… juste que c'est ça qu'il faut. Fucked sensless. Mes cheveux qui sentent encore sur le chemin du retour. Je passe mes doigts sous mon nez. Je garde nos senteurs jusqu'au matin, parce que j'en ai pas fini de ta queue, même si ce n'est plus rien qu'en souvenirs. Je ne serai pas une bonne fille très très longtemps. Elle vient cette correction?
Love-Soeur: littératurer… genre sur une napkin de chez Tim à 2 heures du mat le fesses en feu? je te la dédicacerai exclusivement. j'ai pas de cahiers. je t'envie.
the Meth: oui. et entre le café et le break, on peut se fermer les yeux, mettre le doigt sur un bleu et s'y retrouver deux minutes. beats the shit out of filling out questionnaires!
HUuuuum. Ceux qui sont douillets ne peuvent pas comprendre. La lourdeur, l'insistance, pincements, claques, brassages sauvages, lutte Greco-romaine, souvent ça prends ça pour s'éveiller de la vie habituelle, trop douce, trop lente, trop subtile. Une violence calculée qui donne un sens fort comme un flash à ces odeurs glanées sur tes doigts. Though Love.
Allez!! Il vient ce bonnet de bonniche ??
(reste à savoir qui le mérite. En parlant de mériter…)
😛
xx
(J'ai eu le fleuve houle en lisant, tu devrais p-ê songer à te littératurer les doigts chair amie.)