…Je réfléchis si longtemps à chacun de
mes gestes, surtout ceux qui ont de l’importance et
des conséquences, pour moi ou pour les autres, que
j’ai du mal à concevoir l’impulsivité. Et en même
temps, c’est quelque chose que j’envie.
Parce que j’aimerais être plus détachée, plus centrée
sur mes besoins, parfois, plus spontanée.
Je pense que tu m’as permis ça, à quelques reprises.
Et c’est pour ça que j’ai encore envie de t’écrire, parfois.
Je t’imagine vivant seule.
Avec tes enfants par moment.
Avec une liberté nouvelle sinon.
Et je me demande comment ça se passe, dans ta tête.
Es-tu heureuse ?
Es-tu là où tu dois être à ce point-ci de ta vie, tu
crois ?…
J’aurais pu répondre à ça. Je tenterai de le faire. Par une porte qui n’est pas encore fermée.
reste que je me retrouve dans son truc de réfléchi et d’impulsivité…. Bizz….
moi aussi! j’ai pensé à moi pour la première fois quand je suis partie. et ce qui a été le plus difficile, c’est juste d’imaginer ce que ma famille ressentirait. c’est ce qui m’a retenue pendant si longtemps. mais tu vois, tu es sur ton balcon avec ton verre de rouge, moi dans mon salon avec mon Mojo. on est peut-être pas assez impulsifs, mais on sait apprécier le moment présent 🙂
oh! ça me fait penser aux courriels que j’envoie à Mistral! je reçois jamais de réponse moi aussi! 😉
quand j’ai pas de réponse, je me demande: est-ce un cas de delete, de report junk, ou tout simplement un manque d’intérêt? peu importe la raison, c’est toujours décevant.
ahah! c’est une façon de passer un message?
Je sais! Mais c’est compliqué (ici j’ai l’impression de reprendre les justifications de ma vieille prof Nadia qui me réécrivait toujours avec deux semaines de retard).
Je n’étais pas sûr et je ne suis toujours pas sûr d’avoir compris ce que tu voulais me dire! En tout cas, je te répondrai pareil, j’esquive le coup et je me dis que ce n’était que parole en l’air.
Salut !
Bastien.
non pas de message. je ne suis pas une passeuse de message. pas besoin de regarder plus loin que ça, tout ce que je voulais dire c’est que quand j’envoie une lettre ou un mail et que je n’ai pas de résponse, j’angoisse et je suis déçue. thats it.
y a pas de deuxième, troisième ou vingtième niveau. c’est vraiment pas mon genre, les sous-entendus. surtout que je ne me mêle pas des histoires des autres. j’ai assez des miennes! 🙂
ouais, j’imagine qu’on est bien d’une certaine façon dans notre banlieusardise… 😉