Code
Prisonnière de mon écran, de mes mots, dans ma maison, dans mes pensées.
Prisonnière de ces mains qui se tendent, avec tant de ferveur, auquelles je m’accroche en leur arrachant la peau.
Prise dans le vide qui s’emplit d’incertain, mon vide, où j’y met ce qu’il ne faut pas.
Pognée. Fucked.
Tout est à ma portée, derrière un mur de verre trempé.
Je veux sortir, voir, respirer en vrai.
Prisonnière de moments tourmentés, moments illuminés, sans aucune continuité.
Une libération conditionnelle.
J’étouffe de tout vouloir.
Spectatrice de vies virtuellement heureuses.
Tabarnak, t’es à ton pinnacle, Swan. Tu torche.
Glp.
I so grok.
c’était il y a presqu’un an… je trochais mes larmes.
mais avec un tabarnak, ça se prend bien. merci 🙂